©Le Coin : les artistes, les artistes associés

Les artistes associés.

Aurélia Boisson Périgot

Cerveaux

    Vit et travaille à Paris

    Maîtrise d'Histoire de l'Art en 2001 à l'Université Paris I, Panthéon Sorbonne

    Certifiée d'arts plastiques.

     

    Je travaille toujours par strate, partant d'images souvenirs puis les retravaillant par juxtaposition, recouvrement, décollement. Les images souvenirs sont transformées lorsqu'elles changent de support ; cette matérialisation permet un "dialogue" entre vous et moi par le truchement de l'oeuvre.

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Peggy Bougy

langues
Nombrils, série 3, 2007

    Vit et travaille à Paris

    Formation à l’Ecole Supérieure d’Art et de Design.

    Obtention d’une maîtrise en arts plastiques à l’université Paris 8 en 2002.

    Agrégée en arts plastiques.

    Co-fondatrice de l’association Le Coin.

    Je pratique le dessin pour ce qu'il a d'obsessionnel et j'entretiens le regard introspectif sur les choses qui en découle. Le dessin n’est plus un simple médium mais un regard particulier : celui qui découpe, transperce, greffe. Un dessin au scalpel qui convoque d’autres médiums : la vidéo, l’infographie et l’installation.

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Sandrine Commarmond

Monades, Liberté d'opinion.

    Vit et travaille à Paris.

    Formation à l’Ecole Supérieure des arts décoratifs d’Amiens.

    Obtention d’un master Esthétique et Sciences de l’art.

    Obtention d’une maîtrise d’art plastiques de l’Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne.

    Bientôt une présentation du travail de Sandrine Commarmond...

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Caroline Grocholski

    Vit et travaille à Paris

    CFPI, Ecole Supérieure d’Art et de Design d’Amiens.

    Maîtrise d’Arts Plastiques, Paris VIII, St.Denis Mention très bien pour "Mon journal d’artiste : les journaux et carnets des peintres modernes et contemporains"

    Bachelor of Fine Arts in Art (B.F.A.), "Minor" en Histoire de l'Art, Florida International University, Miami, FL, USA

    Caroline s’inspire de rencontres avec des espaces : paysages urbains dont la banlieue, la nature et l’organique…
    Elle emploie le dessin et la photographie pour interroger le mystère et l’histoire de ces lieux.
    De ces traces, elle recompose en peinture, sous forme de puzzle ou de patchwork, les narrations qui en émanent.
    À Varsovie, elle s’intéresse à l’identité, par des lieux de mémoire : architecture, monuments, parcs.
    De cette immersion, il en résulte une série de peintures qui conjuguent différentes temporalités.
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Hélène Guyot

langues
Baiser Blanc

    Vit et travaille à Paris

    Formation à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Bourges. Obtention du DNSEP en 2003.

    Au départ, je dessinais des fragments d'architecture, de machine, de mécanisme, que cet état des choses corresponde à une réalité physique, concrète ou idéal, l'idée était que ce qui se fragmente en diverses parties, en se désolidarisant d'un tout peut engendrer de nouvelles énergies. De là sont nées des géographies fictives, où la confrontation et la juxtaposition d'éléments étrangers les uns aux autres forment un nouvel ensemble sémantique.

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Elodie Maïno

Les bâteaux

    Vit et travaille à Nantes

    Formation à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Bourges. Obtention du DNSEP en 1999.

    Co-fondadrice de l’association Pocosphère, ateliers d’expression plastique, Nantes.

    Elodie aborde l’expérience de manière scientifique, sur le mode de la dérision. Elle propose des dispositifs qui explorent notre rapport au quotidien, grâce à des matériaux ou d’enregistrements visuels et sonores extraits du réel.

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Laurence Pascual

Fragments d’etat

    Vit et travaille à Paris

    Formation à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Bourges.
    Obtention du DNSEP en 2000.

    Co-fondadrice de l’association Le Coin.

    Je propose, par l’enregistrement, une réflexion sur nos mécanismes de perceptions. Je questionne la représentation à travers l’expérience du spectateur grâce à des dispositifs photographiques, vidéo, textuels…

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Pascale Pressicaud

Etude, 2001

    Vit et travaille à Paris

    Le terme hyperimage semble correspondre à la nature de mes peintures qui, d’une part, représentent la réalité de mon quotidien et, d’autre part, servent à valider mon existence à l’instant où elles se matérialisent. Je tente de fixer sur la toile la réplique mentale du monde dont je fais l’expérience lorsqu’il filtre à travers mes organes sensoriels et conditionnement. La seule chose que je connaisse de ce monde que je vois est l’image qui se crée dans ma tête.

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