Barcelone/patios intérieurs

Photographier permet de s’interroger sur notre relation au monde.
L’objet photographique, de même que notre regard, offre une vision parcellaire de l’espace et du temps, ce qui suppose des limites de perception ; dans lesquelles, présence ponctuelle, profondeur de champs, champs de vision, architecture…, mettent  à l’epreuve nos certitudes.
Les prises de vues frontales de cette série, invitent le spectateur à partager ces expèriences perceptives par la multiplication des points de vue d’un même sujet, par un jeu d’éclairage, d’ouverture et fermeture des fenêtres.
Ces dyptiques renvoient à la relativité de la perception des choses.